Un après-midi au pays des songes : « Les machines à jouets »

L’inspiration, c’est quelque chose de particulièrement volatile et capricieux. Tantôt complice du rédacteur, tantôt insaisissable, celui qui parvient à la saisir peut enfin se transcender dans ce qu’il a entrepris.

N’ayant pas une formation littéraire « pure et dure », j’avoue que j’envie particulièrement ceux qui montrent de la facilité dans le maniement de la plume. Cependant, beaucoup de ces génies avouent qu’il n’est pas aisé de « pondre » un bon texte.
Il faut tout d’abord des idées – élément essentiel sans lequel il n’y aurait rien – puis il faut savoir les mettre en valeur, les ordonner pour obtenir une cohérence de l’ensemble. Finalement, on repasse une nouvelle fois dessus pour y effectuer quelques retouches, voire y « foutre un coup de polish » comme j’ai pu l’entendre pour la première fois aujourd’hui. Suivez mon regard…

Et pourtant c’est bien cela. Donner quelque intérêt aux lignes que vous allez coucher sur une feuille de papier et votre écriture pourra vite devenir un travail méticuleux, un travail d’horloger ou d’orfèvre ( qui a dit de prothésiste-dentaire ?)

Pourquoi je parle de tout cela aujourd’hui ?
Tout simplement parce qu’aujourd’hui, devant mon bureau, ces quelques éléments essentiels m’ont fait défaut.

Voici un petit récit fictif d’une étrange journée à RTI. Lire la suite