Le philosophe allemand Nietzsche aimait à dire que face au désert l’homme pensait »Dieu » et face à la ville il pensait »l’homme ». Aujourd’hui, le temps d’une promenade à vélo, les rives de la capitale nous offrent de penser les deux, mi-homme mi-dieu.

Je m’étais longuement interrogé sur la réalité existante derrière cette immense muraille de béton érigée le long de ma route vers le travail jusqu’à ce qu’un jour, pris d’une audace effroyable, je franchissais le cap et passais de l’autre côté :

Audace mille fois récompensée qui révolutionnait ma vie. Finis les trajets interminables en transports en commun bondés, pollués, etc. Vive le vélo et vive la nature! Allez, en selle c’est parti pour une panoplie des merveilles que nous réserve mon trajet quotidien sur les rives de Nouveau Taipei et de Taipei, quelques 15 kilomètres entre mon domicile et RTI:
Bon, je vois déjà le Grand Hôtel qui se profile. Nous venons d’avaler nos 15 km et ma journée de travail commence.

Je vous laisse pour filer dans les studios de RTI, requinqué par cette bouffée d’air frais.
A bientôt!
Très belle promenade et quelles belles photos !! merci
Merci pour cette visite !!!! vue imprenable on oublierai presque que l’on est sur un vélo!!!!!!!!
Belles phots et j’étais présent je prenne des photos souvenirs.
Superbe ! Quel changement de décor !!!
J’aime beaucoup l’avenue (?) bordée d’arbres !
on dirait le mur de Berlin !!!!
mais derrière c’est un peu plus joli !! 🙂
et voilà une audace bien récompensée
Superbe ballade qui demanderait à être mise en valeur plutôt que d’être cachée derrière un vilain mur de béton !
Question mise en valeur, les responsables municipaux de Taipei et ceux du Nouveau Taipei s’efforcent à y parvenir. Quant à ce vilain mur de béton, il est surtout là pour prévenir les inondations lors des typhons ou fortes pluies. Là, il devient vraiment utile car l’endroit devient alors impraticable plusieurs jours mais la ville reste au sec…