Voici le nom de la dernière série en date issue de sa visite à Taiwan. Nicole Dufour, plasticienne-photographe française s’est rendue récemment sur notre belle Formose pour une nouvelle aventure artistique basée autour d’un support des plus originaux, à savoir des tresses et des cordages qu’elle confectionne elle même dans son atelier en Bourgogne avant des les teindre et de les mettre en scène avec des individus qu’elle rencontre lors de ses escapades à l étranger. Inde, Bénin et désormais Taiwan, son exploration artistique est une véritable invitation au jeu….

Je suis allée la rencontrer pour vous dans le cadre de votre rendez-vous artistique de la semaine, ‘l’art du temps’.
Une interview en deux volets : le 30 août et le 6 septembre aux liens suivants :
Et justement, le temps est à délier les clés des nœuds de lecture de sa nouvelle série insulaire, dont voici quelques clichés qui pourraient s’avérer bien utiles pour illustrer notre longue discussion :


En fait, si Nicole tresse, croise les fils, les teint, c’est pour mieux enrouler ses sujets, des objets mais aussi et surtout des individus, des enfants, des danseurs, dans ses cordages, déclinant une lecture photographique à deux niveaux ; la tresse emprisonne tout comme elle est un vecteur de libération, de liberté… en effet, Nicole nous propose une présentation photographique de son travail qui l’amène à explorer différentes cultures et traditions, différentes relations avec son support artistique qu’est la tresse… à Pondichéry en Inde, au bénin en Afrique, tour à tour ses séries photographiques nous livrent différentes clés de compréhension interculturelles.
Voici le lien vers son site officiel si l’envie vous tente de découvrir sa panoplie artistique:
L’artiste a été invitée à présenter différentes facettes son cheminement artistique le dimanche 5 août à un public taiwanais venu nombreux à la librairie française Le Pigeonnier du Quercy située à la capitale à Taipei. Elle venait alors d’arriver à Taiwan il y a à peine une semaine et recherchait des modèles. Parmi l’audience, Christina Wu, une jeune taiwanaise vient de se voir offrir une invitation à se faire enrouler dans les tresses de l’artiste.
Voici le résultat quelques semaines plus tard :



tres particulier!!!
Le nom du traducteur chinois est bien familier : n’était-il pas le présentateur de « petits géants taïwanais » ?
Bravo ! 🙂
Ces photos complètent les 2 derniers reportages de l’Art du Temps sans être indispensables car Aurélie réussit à nous faire « voir » à travers ses reportages avec ses descriptions détaillées.
c’est tres tres bizarre
Original !
j’adore !!!!!